Les acheteurs d'une assurance sur les objets d'art et les spécimens dépendent de la nature des objets de valeur qu'ils extraient, créent, vendent, stockent, exposent, manipulent et/ou transportent.
Les acheteurs peuvent être des entreprises, des institutions financières, des commerces de détail et de gros, des négociants, des sociétés de logistique spécialisées, des sociétés de stockage, des sociétés minières, des musées, des galeries spécialisées, des maisons de vente aux enchères, des universités, des bibliothèques, des détaillants en ligne, des particuliers, et bien d'autres encore.
Avec l'augmentation des valeurs au fil des ans, les organisations qui auraient autrefois protégé leurs biens de valeur par une simple police d'assurance des biens ou des contenus réalisent aujourd'hui la valeur d'une couverture spécialisée pour les espèces.
Les polices d'assurance sur les spécimens sont beaucoup plus souples et offrent une couverture, créée par des courtiers et des assureurs spécialisés dans les spécimens, adaptée aux besoins des acheteurs. Contrairement à d'autres polices standard, les libellés des polices spéculatives peuvent être adaptés en fonction des besoins et de l'activité du client.
Par exemple, la base d'évaluation d'une police d'assurance sur les spécimens est souvent spécifiée comme étant le prix d'achat ou la valeur marchande actuelle, le montant le plus élevé étant retenu. Une telle clause est particulièrement adaptée aux réclamations portant sur des objets d'art.
Plus important encore, les polices en nature répondent aux demandes d'indemnisation d'une manière qui protège les biens précieux des acquéreurs. Nous l'avons constaté dans le cas d'universités, de bibliothèques, de musées, de mines, de bijouteries, de banques et de bien d'autres encore.